Bonnes et mauvaises victimes au Venezuela
Le 12 février 2014, sous les exhortations des meneurs de la droite et de l’extrême droite vénézuéliennes, de rares manifestations pacifiques et, surtout, d’incessantes actions de guérilla urbaine ont mis le feu à quelques villes du pays – toutes entre les mains de maires d’opposition.